jeudi 10 mai 2007

A BAS LA PEINE DE MORT




regardez bien cette jolie jeune fille,





















quel que soit sa faute, elle ne merite pas ca












si les hommes qui ne peuvent voir les coeurs condannent avec rigueur
Dieu qui reste dans nos coeurs releve avec douceur et amour ceux qui tombent








Nul n'a le droit de mettre fin a une vie, je suis contre la peine de mort
et je denonce cette pratique.












c'est une histoire vraie...














La peine de mort est, de toute évidence, une pratique odieuse et dégradante qui n’a plus sa place dans le monde d’aujourd’hui ; elle représente un obstacle au développement progressif des droits de l’Homme et de la justice, et est indéfendable d’un point de vue moral. nous devons ensemble lutter en faveur de l’abolition universelle de la peine de mort.
joel libre penseur
















KINSHASA MOTO

les actes de banditisme dans la ville de Kinshasa. bas son plein 'on parlera même d'une recrudescence de ces actes qui se terminent si pas par mort d'hommes, le viol ou le vol. Ces actes que l' on impute toujours à des hommes en uniforme. L'on assiste ainsi à Kinshasa, ces dernières semaines, à la recrudescence du banditisme. Ces hors la loi opèrent à la faveur de l'obscurité qui couvre une large partie de Kinshasa a croire que la SNEL est complice. Plusieurs quartiers sont dans le noir depuis des mois quand on sait que la RDC exporte du courant a ses voisins. Dans d’autres cieux se retrouver avec un militaire ou policier en pleine nuit c’est une sécurité mais à Kinshasa cela constitue une insécurité. La population demande aux
autorités compétentes de prendre des mesures qui s'imposent pour sécuriser la ville et décourager tous ces ceux qui s'avisent de porter atteinte à l'intégrité physique des paisibles citoyens.
joel libre pensur

.

mardi 8 mai 2007

LIBEREZ KUTINO

Fernando Kutino, récemment revenu en RDC après trois années d'exil, a été détenu par la police des services spéciaux après un discours qu'il avait fait le 14 mai dernier devant une foule importante dans la capitale, Kinshasa. Dans son discours, il aurait critiqué une «influence étrangère» sur le gouvernement de transition de la RDC, ce qui est une vérité et demandé un dialogue national complet entre les partis politiques congolais avant les élections. L'inculpation initiale à son encontre était «incitation à la haine». Cependant, ce 31 mai, Fernando Kutino a comparu avec deux autres personnes devant un tribunal militaire sous inculpation de «détention illégale d'armes de guerre», d'«association de malfaiteurs», et de «tentative d'assassinat». L'accusation a affirmé que les armes avaient été découvertes par la police lors d'une fouille de l'église de l'Armée de victoire de Fernando Kutino, au moment de son arrestation. Les autres inculpations sont liées à un complot présumé pour tuer en 2003 le dirigeant d'une autre église, le pasteur Ngalasi, en raison semble-t-il d'un litige de propriété.

Fernando Kutino et ses coaccusés, inculpés de possession illégale d'armes à feu, d'association de malfaiteurs et de tentative d'homicide, ont été privés de leur droit à un procès équitable devant un tribunal compétent, indépendant et impartial. Amnesty International craint que le procès par le tribunal militaire n'ait été sommaire, et que certains des éléments présentés par le procureur contre les accusés n'aient été obtenus sous la torture. Amnesty International demande que les verdicts dans cette affaire soient rejetés. Si l'État estime qu'il existe suffisamment d'éléments à charge recevables, l'affaire doit être portée devant un tribunal civil adéquatement constitué, qui respecte les normes internationales pour un procès équitable et exclut la possibilité de la peine de mort. En l'absence d'un procès équitable devant un tribunal civil, Amnesty International estime que les personnes emprisonnées doivent être libérées. Mais KABILA et son gouvernement font la soude oreille Amnesty International estime que les accusations à l'encontre du pateur KUTINO F étaient à caractère politique. Le comportement illégal et arbitraire des autorités de l'État dans ces affaires constitue une détérioration des droits humains en RDC, sur fond de tensions politiques précédant les élections. Amnesty International craint que les services de sécurité de l'État – notamment ceux qui ne rendraient de comptes qu'au président de la RDC Joseph Kabila et à son conseiller spécial pour la sécurité, comme la police des services spéciaux – ne se comportent de manière de plus en plus répressive vis-à-vis des opposants et critiques politiques présumés.
Fernando Kutino a protesté de son innocence, affirmant que son seul «délit» avait été d'exercer son droit à la liberté d'expression. Une requête des avocats de la défense pour que l'affaire soit transférée à un tribunal civil compétent, a été rejetée par le tribunal.
Le père de sauvons le Congo est aujourd’hui prisonnier d’opinion. Levons nous pour réclamer a cor et a cru sa libération.
Joël libre penseur